Quand on fait le rayon produits laitiers ces derniers temps, on est étonné de constater l’absence du lait entier pasteurisé.
S’agit-il d’une pénurie ou d’une pratique imposée par les conséquences de la sécheresse sur le cheptel, ce qui signifie un lait moins riche en nutriments (les lipides notamment) qu’en saison fertile ?
Qu’en est-il du rôle de contrôle des établissements publics en charge de ce dossier ?